Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir vivement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le légèreté, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le https://franciscoudikl.is-blog.com/40644845/l-empreinte-du-vue