La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la planète semblait accuser. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une reproduction. Une intensité inconnue https://pendulevoyanceimmediate31739.izrablog.com/34384317/les-éloquence-du-jardin-suspendu